monRV-3.fr …F-PACY

Rejoindre la discussion dans le forum au sujet de cet article

Après avoir longuement exploré le net pour trouver une source d’approvisionnement pour de la mousse phonique structurée destinée à la fabrication d’un capotage d’atténuation acoustique pour mon compresseur, j’ai trouvé les ressources idoines ou : Solutions-Elastomères ou plus économique Flexolan

Ce site permet la commande en ligne de tout le nécessaire, y compris des supports de découplage en caoutchouc, pour fabriquer une boîte permettant d’étouffer notablement le bruit émis par le compresseur et qui finira tôt ou tard par nuire à tout le monde ; la santé du constructeur, la tranquillité de son entourage et surtout les nerfs de son voisinage…

Les gains annoncés en matière d’absorption de bruit, si l’on respecte certains principes acoustiques, sont significatifs et de nature à faciliter cette longue cohabitation qui s’annonce avec le compresseur d’air !

Mousse phonique structurée

Supports de découplage en cahoutchouc

Il restera juste à construire la boîte en CTP pour mettre autour de la mousse et à trouver un petit ventilateur extracteur de type VMC pour assurer le refroidissement à l’intérieur du compartiment compresseur ainsi isolé phoniquement.

Pour information :

Capotage phonique du compresseur () - (Téléchargé 3997 fois)
Tarifs mousse phonique alvéolée () - (Téléchargé 2730 fois)

Antoine m’adresse ces photos de son RV-3 « C-FIKY » et de ce qui doit bien être en fait la gestation la plus longue dans l’histoire des RV :

une construction débutée en 1976 pour un 1er vol en…2007 !…

Voilà certainement le genre de RV qui doit plaire à VanGrunsven lui-même…et en tout cas un bon encouragement pour ceux qui, comme moi, « étalent » le projet dans la durée… 😉

Il y a deux choses qui me rebutent déjà à l’avance pour les avoir déjà pratiquées lorsque je construisais moi-même mes planches de funboard, ce sont :

• la résine…
• la peinture…

Outre l’énorme entreprise que représente, pour un constructeur amateur, la mise en peinture d’un avion complet, cette opération, pour donner un résultat satisfaisant et durable, impose au minimum d’en avoir le savoir-faire…mais aussi les moyens techniques qui sont finalement du domaine d’une activité très spécialisée sans doute hors de portée du constructeur moyen que je suis…

Pour ma part, j’imagine assez mal passer plusieurs milliers d’heures et dépenser plusieurs dizaines de milliers d’euros pour construire un avion et…rater le seul élément « immédiatement visible à l’oeil nu » de la qualité de la réalisation…
Une chose en sûre en ce qui me concerne : j’ai horreur de la peinture et j’en passerai donc par une solution professionnelle !

Pour exemple, voici ce que peut réaliser l’atelier spécialisé « Aerostyll » situé à Lézignan-Corbières :

Le résultat donne sans doute à réfléchir pour bien considérer cette étape de la construction, n’est-ce pas ?

D’ailleurs pour vous équiper au moins pour l’application du traitement anti-corrosion tout au long de la construction, une source d’appro idéale : La centrale du carrossier